"Je prends pour point de départ le récit de ma propre vie qui commence à Bagdad et m'a amené en Belgique. Mais je ne réalise pas un documentaire sur ma vie et ne commente pas des situations politiques. J'effectue un voyage à travers les métaphores de la langue arabe qui est ma langue maternelle." - Mokhallad Rasem
Mokhallad Rasem réunit depuis vingt ans des notes personnelles : il consigne quotidiennement des images qui lui apparaissent dans ses rêves, des souvenirs qui émergent et des impressions qui s'insinuent dans son imaginaire à partir de la réalité quotidienne. Le tout, et pour la première fois depuis qu'il travaille en Belgique, dans sa langue maternelle, l'arabe.
Dagboek van een leeg bed (Journal d'un lit vide) est une invitation poétique à réfléchir sur le temps qui passe, sur la distance et l'intimité, les adieux et les nouveaux départs.
تدور احداث المسرحية حول شخص يكتب الذكريات،الأحلام،الخيال.
La poésie subtile de Dagboek van een leeg bed (Journal d’un lit vide) suffit à émouvoir. “Il cherche dans les gravats de l’histoire quelque chose qui brille”, explique par exemple Mokhallad Rasem à mi-chemin. “Il”, c’est l’effroi qui hante l’Irak, mais cela pourrait tout aussi bien être le metteur en scène de théâtre lui-même. Avec cette pièce, Rasem offre un bijou intimiste à un monde rempli de violence.
"Dagboek van een leeg bed (Journal d’un lit vide) est un récit intimiste et poétique, personnel et universel, en paroles, en images et en sons."
concept, jeu
- Mokhallad Rasem
texte
- Mokhallad Rasem
dramaturgie
- Erwin Jans
scénographie
- Mokhallad Rasem
production
- Toneelhuis