"On ne parvient jamais à cerner cette femme dont l’étrange désir de métamorphose et le penchant pour une existence plus grande que nature se rapprochent dangereusement d’une pulsion de mort. Néanmoins, sa solitude s’insinue profondément sous notre peau."

"Avec de très beaux maquillages, costumes et décors, mais aussi des bandes sonores et des effets sonores rémanents, les courts-métrages sont d’une telle qualité qu’ils peuvent parfaitement être projetés de manière autonome, mais les clins d’œil de la scène renforcent quand même le tout."

"De déchets sur une décharge à l’infortunée Lady Di : Marie Vinck apparaît sous de multiples silhouettes et personnages dans 'Ne Mobliez Mie'."

"Les courts-métrages étaient la colonne vertébrale de l’exposition et maintenant aussi du spectacle », ajoute Stef. « Aussi sont-ils projetés en format cinématographique. Les images sont soutenues par Marie, qui est la seule constante dans les huit films totalement différents, et une figure centrale à la fois à l’écran et sur scène, où une scénographie et des films supplémentaires qui n’ont pas été montrés à l’exposition complètent les courts-métrages originaux."

"Lorsque la marquise Arconati Visconti hérite du château de son mari, elle le fait transformer en fort médiéval. Des photos la montre posant en page médiéval. Cette femme nous a inspirés l’histoire d’un personnage immergé dans son monde imaginaire. Les films tournés à Gaasbeek viennent au Bourla, mais dans la pièce, nous explorons ce personnage plus en profondeur."